Le pestacle de fin d'année : l'émotion au premier rang
Amis lecteurs, il y avait longtemps que je ne m'étais pas épanché sur les agissements de ma petite gamine. Les plus anciens membres de mon audimat ne seront pas rajeunis quand ils apprendront qu'elle approche des 5 ans. Du reste, nous non plus ça ne nous rajeunit pas. Et moi encore moins, puisque j'approche l'âge pré-canonique de 54 ans.
Si je reprends la plume (c'est une façon de parler car il ne vous aura pas échappé que j'utilise un clavier), c'est que ma tchoupinette a chanté et dansé il y a quelques jours à l'occasion du spectacle (pardon : le pestacle) de fin d'année de son école. Aaaah ! le spectacle de fin d'année. Les gamins qui se vautrent en ratant leur pas de danse pourtant patiemment répété de longues semaines durant, ceux qui baillent en chantant, ceux qui font coucou à leurs parents dans le public au lieu de se concentrer sur leur prestation, ceux qui pleurent et ne veulent pas être sur scène... Chaque année le même cocktail qui fait rire semble devoir couler à flots sur les saynètes chorégraphiées et sonorisées que nos enfants accomplissent sous l'autorité bienveillante des courageux enseignants. L'autre jour j'y ai retrouvé tous ces ingrédients. Avec, au milieu (oui "au milieu" car comme tous les parents je ne regarde quasiment que mon enfant), ma fille a néanmoins fait une prestation joyeuse, virevoltante et souriante qui m'a réjoui et rempli la moitié de la mémoire photos de mon smartphone. A propos de mémoire, je me suis vaguement souvenu des spectacles de fin d'année de mes deux grands enfants, et surtout de l'émotion que cela procure à chaque fois de voir tous ces gamins insouciant, joyeux et décomplexés pour la plupart, produire une oeuvre collective dont ils vont être fiers, devant des parents tout aussi fiers, qui cherchent à faire croire que la larme qu'ils ont à l’œil est secrété par l'envie de rire face à la cocasserie de certaines scènes citées plus haut... à d'autres !
La vérité c'est que dans ces spectacles de fin d'année, ce qui nous fait plaisir, ce ne sont pas les gamins qui se trompent de paroles dans la chanson ou qui se plantent les dents au sol après un faux-pas. C'est de voir une bande d'enfants épanouis, qui s'entendent bien, qui ont plaisir à jouer (danser, chanter) ensemble, et qui ont une liberté naturelle d'expression, dont nous, adultes qui les regardons, sommes nostalgiques ou envieux. C'est aussi dans cet espace que vient se nicher l'émotion que l'on ressent en les regardant évoluer.
Si je reprends la plume (c'est une façon de parler car il ne vous aura pas échappé que j'utilise un clavier), c'est que ma tchoupinette a chanté et dansé il y a quelques jours à l'occasion du spectacle (pardon : le pestacle) de fin d'année de son école. Aaaah ! le spectacle de fin d'année. Les gamins qui se vautrent en ratant leur pas de danse pourtant patiemment répété de longues semaines durant, ceux qui baillent en chantant, ceux qui font coucou à leurs parents dans le public au lieu de se concentrer sur leur prestation, ceux qui pleurent et ne veulent pas être sur scène... Chaque année le même cocktail qui fait rire semble devoir couler à flots sur les saynètes chorégraphiées et sonorisées que nos enfants accomplissent sous l'autorité bienveillante des courageux enseignants. L'autre jour j'y ai retrouvé tous ces ingrédients. Avec, au milieu (oui "au milieu" car comme tous les parents je ne regarde quasiment que mon enfant), ma fille a néanmoins fait une prestation joyeuse, virevoltante et souriante qui m'a réjoui et rempli la moitié de la mémoire photos de mon smartphone. A propos de mémoire, je me suis vaguement souvenu des spectacles de fin d'année de mes deux grands enfants, et surtout de l'émotion que cela procure à chaque fois de voir tous ces gamins insouciant, joyeux et décomplexés pour la plupart, produire une oeuvre collective dont ils vont être fiers, devant des parents tout aussi fiers, qui cherchent à faire croire que la larme qu'ils ont à l’œil est secrété par l'envie de rire face à la cocasserie de certaines scènes citées plus haut... à d'autres !
La vérité c'est que dans ces spectacles de fin d'année, ce qui nous fait plaisir, ce ne sont pas les gamins qui se trompent de paroles dans la chanson ou qui se plantent les dents au sol après un faux-pas. C'est de voir une bande d'enfants épanouis, qui s'entendent bien, qui ont plaisir à jouer (danser, chanter) ensemble, et qui ont une liberté naturelle d'expression, dont nous, adultes qui les regardons, sommes nostalgiques ou envieux. C'est aussi dans cet espace que vient se nicher l'émotion que l'on ressent en les regardant évoluer.
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